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information fournie par Boursorama avec LabSense•05/11/2021 à 08:30
Face au déclin de l’utilisation des distributeurs automatiques, les banques s’interrogent sur leur utilité tant que sur leur rentabilité. Plusieurs établissements envisagent une mutualisation de leurs bornes de distribution d’argent liquide dès 2022. Décryptage.
La mutualisation des DAB / iStock-franz12
Le déclin des DAB
Les retraits en argent liquide feraient-ils partie du passé ? Si l’on en croit les chiffres, les retraits en « cash » ont chuté de -23 % en 2020, terrassés par la crise sanitaire et l’explosion des moyens de paiement dits « sans contact ». Conséquence directe de cette tendance, les distributeurs automatiques de billets, communément appelés les « DAB » ont amorcé un discret retrait de 2% en 2020, passant de 53349 à 52095 unités disséminées un peu partout sur le territoire français. Les professionnels du secteur prévoient un déclin annuel d’1% dans les six prochaines années.
La réponse des banques
Boudé par certains, l’argent liquide n’en demeure pas un moyen de paiement essentiel pour toute une frange de la population. Soucieux d’assurer la continuité de ce service autant que la rentabilité de leurs systèmes, plusieurs établissements bancaires français réfléchissent à la mise en place d’un réseau mutualisé de DAB. L’objectif serait de transférer la propriété des distributeurs automatiques – qui est actuellement la responsabilité des banques - à une entité distincte qui deviendrait responsable de la gestion complète et de la maintenance des machines. Cette opération permettrait aux banques de réduire les coûts relatifs à l’entretien des DAB tout en assurant la continuité du service dans des zones à faible rentabilité. Rien ne changerait en matière d’utilisation pour les consommateurs : chaque DAB reconnaitrait la banque à laquelle ils appartiennent à la lecture des cartes bancaires. Les utilisateurs seraient alors directement dirigés vers les services proposés par leurs établissements bancaires.
Les avantages de la mutualisation
Les premiers enjeux de la mutualisation sont la réduction des coûts d’entretien et de service pour les banques. Outre la maintenance habituelle, les DAB sont souvent la cible d’attaques physiques ou logicielles qui nécessitent des mises à niveau de sécurité fréquentes. La gestion d’un seul et même réseau centralisé par une entité spécialisée permet d’assurer une sécurité optimale et une fréquence de maintenance régulière. La mutualisation des DAB présente également de nombreux avantages en matière d’accessibilité pour les consommateurs. Actuellement, la majeure partie des DAB sont situés à l’intérieur ou à l’extérieur des agences bancaires. La mise en place d’un réseau commun permettrait une localisation plus variée, correspondant à l’évolution des besoins et des comportements sociaux. Par exemple, les lieux de consommation ou de transit, comme les gares, les centres commerciaux, les bars ou les boîtes de nuit présentent des besoins en argent liquide importants, et un potentiel de rentabilité accrue pour les DAB qui y sont installés. Plusieurs pays européens, dont les Pays-Bas, le Portugal et la Belgique, expérimentent déjà ce type de système avec succès. En France, des établissements bancaires envisagent de le tester dès 2022.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
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